Mercredi 25 Janvier
Je terminais mon précédent billet par les nombreuses questions associées à ce monde nouveau de la connaissance qui nait avec l’internet. La société de la connaissance de P. Drucker n’est plus celle de l’école ou de l’église mais celle du déluge des données. Internet offre des centaines de millions de pages, une myriade d’explications très souvent contradictoires. La mise à disposition à une échelle encore jamais expérimentée dans l’histoire de l’humanité de conjectures, d’hypothèses disponibles et accessibles constitue un nouvel environnement de la connaissance.